L’être humain n’a jamais vécu aussi longtemps, avec autant de
confort matériel, d’accès au soin, des congés payés… Ceci est surtout
vrai pour les pays dits « développés ». Les injustices
se creusent :
– Certains meurent de maladie cardiovasculaires pendant que plus de 2 millions meurent de problèmes liés à l’eau.-
8 (huit) hommes de « possédent » autant que 3 700 000 000 (trois virgule
sept milliards) d’hommes et de femmes, c’est à dire qu’ils sont plus
puissant que beaucoup d’Etats, mais parfois sans aucun contre-pouvoir
(qui peut contredire Mark Zuckerberg?).
Les Etats (européens) sont totalement dépendant des banques, avec une dette et surtout des intêrets qui ne font que grandir. La France est endettée à 99% du PIB
(produit intérieur brut). Quand un ménage est endetté à ce point, c’est
son banquier qui le dirige. Et on ne pourra tout simplement JAMAIS
rembourser cette dette, et surtout ses interêts exponentiels (cf
l’article dette).
Là où les Etats sont surendettés,
les grandes entreprises mondiales ne payent pas les impôts qui
permettraient aux Etats d’améliorer les comptes.
En
bourse, le rythme de passation d’ordre est la microseconde « grâce » au
trading haute fréquence. Cela n’a plus rien à voir avec le développement
d’une entreprise. La bourse se réjouit (i.e. l’action monte) lorsqu’il y
a un plan de licenciement annoncé.
Et les lois actuelles protègent les banques, les financiers. Lors de la crise de 2008, des millions de personnes ont vu leurs économies volatilisées. Est-ce légal? Oui. Personne n’est allé en prison, les actions contre les banques ont échoué. On peut voler les économies d’une vie sans être poursuivi.
Notre système arrive à ses limites.
Trop souvent l’humain passent en second plan après le business, l’argent, les entreprises. Les plus de 7 400 000 000 (sept virgule quatre milliards) d’hommes et de femmes ne se résument pas à être des salariés consommateurs, consentant ou inconscient de participer à ce système.
L’ambition des « lois » énoncées est de corriger, d’améliorer le monde dans lequel nous vivons, pour tous, en rappelant des principes fondamentaux. des contre-exemples existants.
Le « marché » étant mondial, ces lois doivent être mondiales, globales. Sinon, les entreprises trouveront un contournement de la loi. C’est ce qui se passe actuellement.