Chaque être humain a le droit d’avoir ses besoins fondamentaux (cf l’article) assouvis, pour vivre, et non survivre.
C’est à dire :
– un environnement
où vivre : si on détruit la planète Terre, on se détruit notre
environnement, c’est à dire nous même. Notre planète est bleue car nous
avons une atmostphère. C’est très très rare dans l’univers. Nous avons
déjà commencé à trouer notre atmostphère : les trous d’ozone. Personne
ne « possède » la terre. Nous en faisons partie. Les sols sont une des
composantes fondamentales de notre environnement. Et les sols ne sont
pas une poubelle pour nos déchets. Une loi mondiale pour la préservation
des sols et leur remise en état est nécessaire. Mondiale, pour que les
pays riches n' »exportent » pas leurs déchets dans les pays plus pauvres
comme c’est le cas actuellement.
– respirer... de l’air pur, non pollué, qui ne rend pas malade. Les entreprises doivent être responsables de ce qu’elles dégagent dans l’atmostphère, l’eau, les sols.
– boire, manger… de l’eau et
des aliments qui correspondent à nos besoins, qui ne rendent pas malade
(trop gras, salé, sucré). Le tout sans trace de médicament, de
plastique.Respirer, boire et manger a un impact positif ou
négatif sur notre santé. Bien manger, sainement, boire ne doit pas être
un luxe réservé à une élite.
– dormir
: notre corps recharge ses batteries, on apprend, les enfants
grandissent, on rêve. Pour cela, il nous faut un endroit où l’on se
sente en sécurité, calme, propre, sain, à une température correcte. La
rue n’est pas un endroit pour dormir.Chaque être vivant a
droit à un endroit « chez soi », où il peut dormir, se reposer, être en
sécurité avec sa famille, ses congénères. Une société qui impose à
d’autres êtres vivants de vivre sans endroit où dormir, être en sécurité
chez soi (cf la liberté) n’est pas une société digne de ce nom.
– évacuer les matières non consommées par le vivant (urine, excrément…)
–
souvent des besoins sociaux (très peu d’espèces sont solitaires en
dehors de la reproduction) : amour, amitié, appartenance au groupe,
communication… Au XIIIe siècle, Frédéric II de Hohenstaufen fit une
expérience sur des 6 bébés : il furent élevés dans l’isolement sans leur
adresser la parole ou leur témoigner quelconque affection. Les 6 bébés
moururent ce qui montra la nécessité de communiquer avec son enfant pour
qu’il se développe.
– bouger (p.s. : le champignon n’est ni animal ni végétal)
Pour certaines espèces animales comme l’être humain, le chien, on peut rajouter :
– besoin de sécurité, de corps en bonne santé
Puis :
– épanouissement personnel, spirituel. Donner du sens.
– Apprendre, créer
et surtout
– être libre
– pouvoir penser, s’exprimer
– avoir le choix